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Importation algérie, interdiction

L’importation de matières premières et produits destinés à la revente en l’état recadrée au JO

 L’importation de matières premières, produits et marchandises destinés à la revente en l’état a été recadrée par un décret exécutif publié au Journal officiel N° 21, modifiant et complétant celui de 2005 relatif à cette activité.

Selon le nouveau texte, signé début avril, par le Premier ministre Abdelmalek Sellal, il est stipulé que dans le cadre de l’importation de ces produits, les sociétés commerciales sont tenues « de disposer d’infrastructures de stockage et de distribution appropriées ».

Ces infrastructures doivent être « aménagées en fonction de la nature du volume et des nécessités de stockage et de protection des marchandises, objet de cette activité et être facilement contrôlables par les services habilités ».

Les sociétés d’importation ont pour obligation aussi d’utiliser des moyens de transport adaptés aux spécificités de leurs activités, de prendre les mesures nécessaires pour le contrôle de la conformité du produit importé avant son admission sur le territoire national conformément à la loi, lit-on dans le nouveau décret.

Par ailleurs, il est impératif pour les sociétés importatrices nouvellement créées d’obtenir auprès du ministère du Commerce un certificat attestant du respect des conditions fixées, alors que celles déjà en activité disposent d’un délai d’une année pour se conformer à cette nouvelle règlementation.

Selon les chiffres du Centre national du registre de commerce (CNRC) quelque 35.518 sociétés activant dans la branche de l’importation ont été recensées à fin 2012.

Ces nouvelles mesures réglementant l’importation, entrent dans le cadre de la volonté des pouvoirs publics, de réduire la facture d’importation qui a atteint un montant de 12,67 milliards de dollars durant le premier trimestre 2013, contre 10,66 milliards de dollars une année auparavant, soit une hausse de 18,85%, selon les chiffres des douanes algériennes.

 

Source: http://www.aps.dz

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Investissement : le délai d’octroi de l’acte de propriété du foncier bientôt réduit à moins de 15 jours

Le délai d’octroi de l’acte de propriété du foncier ou des biens destinés à l’investissement ne pourra plus dépasser les 15 jours dorénavant grâce à une instruction interministérielle visant à améliorer le climat des affaires en Algérie, a indiqué mercredi le Directeur général des Domaines de l’Etat, Mohamed Himour.

Cette instruction, qui veut que « l’acte de propriété des terrains ou des biens destinés à l’investissement soit délivré dans un délai n’excédant pas les 15 jours » entre dans le cadre du travail du comité interministériel chargé de l’amélioration du climat des affaires en Algérie et de son classement dans le Doing-business de la Banque mondiale, a fait savoir M. Himour sur les ondes de la radio nationale.

Le 10 mars dernier, un comité chargé de l’amélioration de l’environnement des affaires en Algérie, présidé par le ministère de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement, a été installé.

Le climat des affaires en Algérie « reste peu favorable faute d’un cadre de coordination, de suivi et d’évaluation adéquat », avait alors reconnu le ministre de l’Industrie, de la PME et de la Promotion de l’Investissement, Chérif Rahmani devant les membres de ce comité constitué notamment des représentants des ministères de l’Industrie, l’Habitat, les Finances, la Justice, le Travail et l’emploi ainsi que des organisations patronales et de l’Union générale des travailleurs algériens (UGTA).

L’Algérie a été classée 152ème dans le rapport Doing business 2013 de la Banque mondiale (150ème en 2012), mesurant le climat des affaires dans 185 économies mondiales.

Les différentes organisations patronales et à leur tête le FCE, qui se plaignent toujours du climat des affaires en Algérie, même s’ils se montrent optimistes quant à l’approche « pragmatique » du gouvernement Sellal, pointent du doigt le problème du foncier en particulier.

Ils contestent non seulement la difficulté d’accès au foncier mais également les lenteurs liées à la délivrance des actes de propriétés. Ils veulent aussi que l’acte de concession, qui a remplacé l’ancien régime de cession, soit accepté par les banques au même titre que la propriété en termes de garanties.

Interrogé par ailleurs sur les personnes physiques qui n’ont pu avoir leurs actes de propriété de terrains qu’ils détiennent depuis 20 ans, M. Himour a souligné que la régularisation de telles situation demande du temps car elle exige l’aval de plusieurs autorités.

Les privés devraient être impliqués

Selon le responsable du ministère des Finances, les propriétaires de terrains privés, qui laissent leurs biens inexploités, doivent être amenés à mettre sur le marché le foncier qu’ils détiennent.

« Faut-il peut-être adopter des mesures coercitives pour amener ces privés soit à construire leurs terrains soit à les mettre sur le marché pour contribuer au développement de l’économie nationale », a-t-il proposé en déplorant le phénomène de « rétention » du foncier privé au point où certains propriétaires privés osent demander de bénéficier du foncier public.

Mais, le rythme d’octroi du foncier industriel semble quand même s’accélérer depuis le second semestre de 2012, a fait remarquer le même responsable.

Interpellé sur la multiplication des intervenants dans la décision d’octroi du foncier industriel, déplorée souvent par les entrepreneurs, M. Himour a assuré qu’il n’ y avait pas de chevauchement de prérogatives entre les Domaines, le CALPIREF, l’ANIREF et les collectivités locales par exemple.

Sur une question relative à l’avancement du Cadastre général, il a assuré que le rythme de cette opération s’accélérait de plus en plus, avec une moyenne de plus d’un million d’hectares de terres cadastrés annuellement, pour être achevée dans les délais escomptés, c’est-à-dire la fin de 2014.

Tous les biens des anciens colons seront bientôt récupérés par l’Etat

Interrogé sur les biens vacants abandonnés en 1962 par les français et les autres étrangers ayant quitté le pays après l’indépendance de l’Algérie, M. Himour a assuré que ces biens seront entièrement récupérés et intégrés dans les terres privées de l’Etat d’ici à la fin juin prochain au plus tard.

Estimés à pas moins de 24.300 bâtisses abandonnées par les colons, ces biens devaient être déclarés vacants et récupérés par l’Etat dans les années 1960, une procédure qui n’a malheureusement pas été mise en œuvre par les autorités locales de l’époque, a-t-il rappelé.

Les biens appartenant aux étrangers ayant quitté l’Algérie après l’indépendance sont ainsi restés en leurs noms. Même si l’Etat algérien a obtenu gain de cause dans 99% des plaintes transmises en Justice, certains des anciens colons ont tout de même réussi à avoir la propriété définitive de leurs biens abandonnés depuis des décennies, a-t-il encore regretté.

Le règlement final de cette situation sera atteint grâce à l’article 42 de la loi de finances de 2010 qui a inscrit définitivement ces biens au nom de l’Etat algérien, a précisé M. Himour en avançant que des instructions ont été données pour que cette affaire soit totalement réglée d’ici à la fin juin prochain.

 

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BEA-Banco Espirito Santo : lancement officiel de la société de leasing

La Banque extérieure d’Algérie (BEA) et la banque portugaise, Banco Espirito Santo, ont lancé officiellement mercredi leur société de leasing commune Ijar Leasing Algérie (ILA), désormais opérationnelle.

Ont assisté à la cérémonie d’inauguration du siège d’Ila, situé sur les hauteurs d’Alger à El Mouradia Mohamed Loukal et Ricardo Salgado Espirito Santo respectivement PDG de la BEA et PDG de Banco Espirito Santo.

La cérémonie du lancement officielle d’ILA a été également rehaussée par la présence du DG du Trésor, Hadj Baba Ami et des représentants de la Banque d’Algérie.

Doté d’un capital de 3,5 milliards de DA, ’’ILA’’ est une société de crédit-bail qui va financer les professionnels, notamment les PME dans l’acquisition des biens mobiliers et immobiliers, a expliqué le P-DG de la BEA, M. Loukal à l’APS.

Le capital de cette société de leasing est détenu à 65% par la BEA et à 35% par la BES, plus grande banque portugaise cotée en bourse et possédant une part de marché intérieure de 19,3%.

Depuis son démarrage effectif mars dernier, ’’ILA’’ a déjà utilisé près de 50% de son capital social en prêts aux entreprises ce qui augure de l’importance des affaires. J’espère qu’en 2013 nous allons consommer tout notre capital en financements », a-t-il ajouté.

De son côté M. Salgado Espirito Santo a indiqué que le partenariat de la BES avec la BEA « représente un grand challenge pour l’avenir et constituera un apport important pour le financement spécialisé en Algérie dans plusieurs secteurs diversifiés ».

« Ce partenariat permettra aussi de renforcer les relations anciennes entre l’Algérie et le Portugal et aidera à créer un essor pour un développement nouveau entre les deux pays », a-t-il indiqué. La banque est présente dans 25 pays notamment en Europe, en Amérique du sud et en Afrique.

’’ILA’’ va financer les entreprises dans l’acquisition d’équipements neufs dans divers secteurs comme le transport, l’industrie, l’immobilier, l’hôtellerie, la santé et le BTPH en leur offrant un financement global jusqu’à 100 % et à des conditions très compétitives, a-t-on précisé.

Le leasing ou crédit-bail est un mode de financement bancaire qui consiste à louer des équipements à une entreprise contre le paiement périodique d’un loyer durant une échéance à l’issue de laquelle le locataire de ces équipements en deviendra propriétaire, suite à une opération de cession effectuée par la société de leasing.

 

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Mapping Algeria 2013 : la cartographie participative en marche

Le retard de la mise en œuvre de l’Internet mobile (3G ou 4G) ne semble pas freiner les ambitions de la communauté des développeurs et des porteurs de projets dans les TIC en Algérie. Après « Algeria 2.0 », c’est au tour des animateurs de « Mapping Algeria » de battre le pavé du cyberparc Sidi Abdellah pour une seconde édition de la cartographie participative sur Internet.

Organisée par Google Developers Group Algiers (GDG Algiers) la seconde édition du projet Mapping Algeria (2013), de cartographie des wilayas d’Algérie, par le recours aux technologies de Google, se déroulera le 27 Avril prochain au Cyberparc de Sidi Abdellah, où une centaine de participants sont attendus. Pour cette nouvelle édition, d’autres Google Developers Groups organiseront le même jour, dans les wilayas de Chlef, Constantine, Bordj Bou Arreridj, Annaba, et Oran, cet événement pour cartographier leurs régions respectives. Comme pour l’édition de 2012, Mapping Algeria se divise en deux parties. Une première où les participants vont bénéficier de séances de présentation des outils de mapping de Google, qui seront assurées par des experts algériens et étrangers. Pour cette année une visioconférence est prévue avec Anna Chernova, responsable de l’analyse des données pour les équipes Geo Google (dont Google Maps, Google Earth et d’autres produits liés à la géolocalisation) qui interviendra pour aider les participants à se familiariser avec les outils de mapping du géant américain des services Internet. Dans la deuxième partie de Mapping Algeria 2013, les participants seront appelés à contribuer à l’enrichissement de la carte de leur entourage.

Le projet Mapping Algeria intervient devant le manque flagrant en matière de cartographie algérienne sur Internet. « Seules les grandes villes sont couvertes, mais de façons irrégulière », affirme-t-on chez GDG Algiers. Selon Tarek Cheikh, membre de GDG Algiers, l’intérêt de développer le mapping est de permettre aux internautes algériens de chercher des adresses de restaurants, d’hôtels, de banques, et de diverses institutions publiques. « Ça peut servir à des éditeurs de GPS, notamment les entreprises, les chercheurs d’emplois, les sociétés de distribution (pour orienter les clients où trouver leurs produits), mais également pour développer le tourisme », ajoute-t-il. Il existe plusieurs « outils gratuits et très faciles à utiliser pour renfoncer » le mapping. Parmi ces technologies de Google, l’on cite Google Maps, Google Earth, Google Map Maker, Google Maps API… etc. Deux ateliers sont également prévus dont l’un sera consacré à la « modélisation 3d des villes avec Google Sketchup », un sujet qui n’avait été évoqué pendant l’édition de 2012.

Des tutoriels pour s’initier au mapping 

Pour ceux qui souhaitent s’initier au mapping, le site de Mapping Algeria contient plusieurs tutoriels d’introduction à Map Maker de Google. Ces tutoriels, sont « suffisants pour apprendre l’essentiel du mapping », soutien Houd Bouchelouche, membre du GDG Algiers. Parmi les vidéos proposées on peut apprendre la « superposition GPS » (en utilisant l’application My Tracks) et éditer les « formes des constructions ». « Les tutoriels sont suffisants pour apprendre à faire du mapping. Même pas besoin d’avoir des notions d’informatique ou de programmation », insiste Houd Bouchelouche. « Si, pour le moment (l’interview a été réalisé lundi dernier, ndlr), la majorité des inscrits sont des étudiants (environ 70), la porte est encore ouverte à tous ceux qui veulent s’initier à ces outils, y compris des étudiants de disciplines autres que technologiques », affirment nos deux interlocuteurs. Dans la mesure du possible, les organisateurs essayeront d’assurer le transport aux participants. Tout dépendra de l’apport de nouveaux sponsors. Les informations seront disponibles sur la page Facebook de l’événement. Pour le moment, deux sponsors soutiennent l’initiative Mapping Algeria. Il s’agit bien évidemment de sont Google Map Maker, et de l’Ecole supérieure d’informatique (ESI – Oued Smar) d’où sont issus les étudiants membres du GDG Algiers.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com/

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«Handis» : portrait d’une équipe de gagneurs

Jeunes, ambitieux et férus de TIC, les membres de « Handis », le projet qui a décroché le premier prix de la « Startup Weekend-Oran » et s’est frayé une place à l’incubateur « Technobridge » de l’INTTIC, parlent de leur aventure. L’euphorie de la distinction passée, ou presque, Maghreb Emergent les a rencontrés.

Ils ont entre 14 et 30 ans, les six membres de l’équipe de « Handis », un projet de cloud computing destiné aux professionnels du secteur du bâtiment et ils n’en reviennent pas encore de leur victoire. Rencontrés une semaine après la finale de la Startup Weekend-Oran (SWO), qui s’est tenu du 11 au 13 avril, à l’Institut National des Télécommunication et des Technologies de l’Information et de la Communication (INTTIC), ils racontent leur cheminement. Le plus âgé de l’équipe a 30 ans. Le plus jeune en a 14. Leurs domaines de compétences sont également divers : architecture, informatique, génie-civil, planification et statistiques ou encore technologies de l’information et la communication (TIC). Tous ne se connaissaient pas directement avant de se réunir autour du projet « Handis ». Le maillon fort de la bande est composé de Yacine Ikkache et Riad Kada Aïssa, deux amis dans la vraie vie. Le premier est le spécialiste en TIC. Le second, est architecte de formation.

L’idée de base de « Handis » est l’œuvre de Yacine Ikkache. Elle est surtout le fruit d’expériences croisées acquises dans des domaines professionnels divers. Pour ce natif du quartier d’Eckmuhl à l’ouest d’Oran, titulaire d’un magister en TIC, décroché à l’INTTIC, le labeur n’est pas un vain mot. Il est actuellement doctorant à l’Université d’Oran, même si sa carrière professionnelle est bien entamée. Enseignant d’informatique en tant que maître assistant à l’université de Mascara, il donne également des cours de mathématiques, entre autres à « Yacine académy », un site de formation et de soutien scolaire en ligne qu’il a mis au point avec quelques amis. Mais avant cela, Yacine a mis ses connaissances dans le domaine des TIC au service d’ISSAL, un « Cloud Service Provider », avant d’exercer dans le consulting en réseaux et télécoms auprès d’entreprises activant dans le secteur du bâtiment.

L’idée de « Handis » est aussi le fruit d’une multitude de rencontres et d’une polyvalence dans le parcours comme le souligne le concerné. C’est aussi l’avis de Riad Kada Aïssa. Cet architecte est également amateur de tout ce qui est design et graphisme. A 26 ans, il vient de lancer son propre bureau d’étude, « Afak ».

L’équipe est également composée de Abdelhak Sidi Ali Mebarek, le plus jeune de la bande qui a à peine 14 ans, dont le grand frère, Mahfoud, un ancien de l’INTTIC est un camarade de Yacine. Le jeune Abdelhak est encore collégien, mais sa passion pour l’informatique, et pour le graphisme en particulier, lui ont value d’être le designer de l’équipe au SWO. C’est lui qui a conçu les sites « Yacine Academy » et de « Afak ». Abed Reguieg, 30 ans, ingénieur en génie-civil de l’USTO, et responsable de BETEC, un bureau d’étude technique, fait aussi parti de l’équipe. Le marketeur de « Handis » n’est autre que Ziani Ayoub, 26 ans, ingénieur en planification et statistique de l’Ecole nationale supérieure des statistiques et économie appliquée (ENSSEA).

Ce jeune originaire de Blida a fait la connaissance Riad Kada Aïssa à bord d’un avion qui les emmenait au Maroc pour prendre part à un concours d’inventions. La « Dream Team » est complétée par Bouazza Mohamed, 26 ans, titulaire d’un master en informatique de l’USTO, en spécialité système d’information. Il exerce actuellement en tant que développeur web applications chez ISSAL.

La naissance d’une idée

Lorsqu’il faisait du consulting en réseaux et télécoms, auprès d’une boite activant dans le domaine des études en bâtiment, Yacine Ikkache a pu constater « toute la difficulté pour un maitre d’ouvrage de trouver les compétences dont il a besoin, mais aussi pour assurer la coordination entre les différents intervenants, pour un gain de temps et d’argent », raconte-t-il. « Je me suis alors dit, pourquoi ne pas concevoir un système qui facilite cette collaboration et cette coordination des actions », dit-il encore. Et de poursuivre : « L’idée était à ce stade assez sommaire. Mais elle méritait réflexion tant elle répondait à un besoin bien réel. Je me rappelle qu’avec Riad (l’architecte) on avait réussi à mettre le doigt sur les failles qui entravait cette coordination. On avait une idée sur les réponses techniques à apporter grâce, notamment, aux notions de cloud computing que j’avais acquises auprès de ISSAL. Il nous manquait juste le business model ». Notre réflexion visait à mettre au point une plateforme collaborative qui servirait d’interface entre les maitres d’ouvrage et les maitres d’œuvre. Les premiers auront la possibilité de trouver un éventail de choix de compétences, alors que les seconds auront la possibilité de décrocher des marchés plus facilement, contournant ainsi le système actuel qui s’appuie plutôt sur les réseaux de connaissances que sur les arguments de compétences et de compétitivité. La plateforme se présente, affirme Yacine Ikkache comme le garant à ce que la commande du maitre d’ouvrage soit satisfaite pour que dès lors, les honoraires du prestataire soient versés. Autre argument non négligeable, le maitre d’ouvrage, grâce à la technologie de cloud computing, peut à tout moment consulter l’état d’avancement de sa commande. C’est la force technologique de cette idée. Pour l’équipe de « Handis », il sera question au niveau de l’incubateur de l’INTTIC, de peaufiner le business model du projet pour le rendre opérationnel.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com

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Les entreprises doivent bénéficier de facilitations et évoluer dans un climat serein

Le président du Conseil national consultatif de la promotion de la PME (CNC PME), Zaïm Bensaci a réclamé mardi des « facilitations » et un ’’climat serein’’ pour permettre aux entreprises d’évoluer dans un contexte plus favorable.

« Il faut débureaucratiser et avoir une cohérence dans les différents centres de décision pour qu’il y ait des facilitations et une conformité des textes et surtout leur application », a-t-il affirmé dans une intervention à la Radio nationale.

Pour lui, ces mesures doivent être prises pour que « les entreprises évoluent dans un climat serein », déplorant que les PME « ne trouvent pas de cadre adéquat pour se développer ».

« Il y a des conditions qui ne se prêtent pas » à l’activité économique, ajoute-t-il. Les opérations de facilitation sont  en cours et on verra comment les choses vont évoluer », a-t-il répondu à une question sur l’efficacité de ces mesures.

Enumérant les difficultés auxquelles font face les entreprises, M. Bensaci cite particulièrement la bureaucratie qui « nous a ruiné comme dans le domaine bancaire », relevant que l’administration impose « un parcours du combattant » pour récupérer des documents administratifs.

« Il faut simplifier au maximum les démarches », a-t-il préconisé, dans le but de parvenir à atteindre « notre ambition de création de nouvelles entreprises ».

En plus de la simplification des démarches, il estime qu’il faut ’’sanctionner les failles » et opérer des corrections tout en réclamant des réductions du nombre d’interlocuteurs pour aboutir à l’acte d’investir.

« Un guichet unique est nécessaire mais il ne faut pas retomber dans les carences du passé », dit-il en rappelant que différentes mesures sont prises au niveau gouvernemental mais que sur le plan de l’application, « cela ne marche pas ».

Il affirme, à titre d’exemple, que certaines banques « jouent le jeu et d’autres pas » lorsqu’il s’agit d’appliquer des décisions prises pour aider les entreprises en difficulté.

« Pourquoi être restrictif par le cas par cas lorsqu’il s’agit de difficultés financières ? » s’est-il interrogé en considérant que cette démarche ne facilite pas la préservation de l’entreprise et l’emploi.

Un guichet unique est nécessaire

« Les entreprises ont été victimes » et les difficultés ne sont pas seulement le résultat de la gestion mais aussi de la dévaluation dans les années 1990, a-t-il dit, appelant à ce que « chacun prenne ses responsabilités ».

Malgré ces difficultés, M. Bensaci évoque les opportunités offertes par le programme de mise à niveau des entreprises dont le ’’PME II’’, soulignant que celui, initié par l’Agence nationale de promotion de la PME (ANDPME), est « en cours » d’exécution.

Mais même dans ce cas, M. Bensaci pointe du doigt « un problème de capacité » généré par  » la constitution juridique de l’ANDPME » qui l’enferme « dans le carcan administratif » avec des lourdeurs administratives ».

Il a aussi regretté que le projet de mise à niveau « n’a pas avancé comme il aurait du l’être ». Mais, M. Bensaci reste optimiste, soulignant qu’’’il y a un de changement de statut (de l’ANDPME) qui est en cours ».

M. Bensaci annonce, « sous toute réserve » que parmi plus de 700.000 PME, « 1700 dossiers de mise à niveau sont enregistrés » sur les 20 000 prévus et pour lesquels « les bureaux d’étude vont être sollicités » pour que les opérations puissent commencer ».

« Le montant assigné au renouvellement des équipements est insuffisant », estime-t-il par ailleurs et considère que l’essentiel est de réussir la mise à niveau des entreprises enregistrées.

Quant au plan de charge des entreprises spécialisées dans la sous-traitance, le président du CNC PME a indiqué que la relance industrielle ne repose pas uniquement sur l’offre de Renault et qu’il y a d’autres sociétés qui sollicitent de nombreux services comme la SNVI, Sonelgaz et Sonatrach.

« La SNVI a joué le jeu et s’est entourée de sous-traitants », a-t-il dit.

« Le gouvernement veut développer cette filière, mais on est encore loin du compte », dit-il en s’appuyant sur le fait que les entreprises locales ne peuvent répondre qu’à 5 % ou 10 % des besoins du marché et tout le reste de la demande de l’économie est satisfait par les produits importés.

Cette carence est justifiée en partie par le fait que les entreprises étrangères comme Renault « sont dures » et exigeantes vis-à-vis des sous-traitants, en plus de « la discrimination » dont sont victimes les entreprises privées, selon M. Bensaci.

« Il ne faut pas imaginer » que les entreprises vont être délocalisées à Oran « pour travailler avec Renault », a-t-il averti.

En fait, il a réclamé une part des commandes publiques au secteur privé » car les besoins de l’économie nationale ne peuvent pas être satisfaits uniquement « par le secteur public ».

Enfin, sur la rencontre, mardi entre le ministre de l’Industrie, Chérif Rahmani, l’UGTA et le patronat, M. Bensaci a indiqué que dialogue va aider « à sortir de l’ornière » et aider à trouver les solutions.

Il n’a, toutefois, pas précisé l’ordre du jour de cette réunion entre le ministre de l’Industrie et les représentants de la centrale syndicale et le Patronat algérien.

 

Source: http://www.aps.dz

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Le niveau des aides accordées aux jeunes promoteurs et aux chômeurs promoteurs âgés de 30 à 50 ans redéfini au JO

Le niveau des aides accordées aux jeunes promoteurs et aux chômeurs promoteurs âgés entre 30 et 50 ans vient d’être redéfini par deux décrets exécutifs publiés au Journal officiel, N.16 modifiant et complétant les textes législatifs de 2003 et 2004.

Les deux décrets précisent que les catégories de jeunes promoteurs et chômeurs promoteurs âgés entre 30 et 50 ans, outre les avantages prévus par la législation et la réglementation en vigueur, bénéficient d’une bonification des taux d’intérêt sur les crédits d’investissement de création ou d’extension d’activités qui leur sont consentis par les banques et les établissements financiers.

’’La bonification en question est fixée à 80% du taux débiteur appliqué par les établissements bancaires, au titre des investissements réalisés dans les secteurs de l’agriculture et de la pêche, du bâtiment, des travaux publics et de l’hydraulique ainsi que de l’industrie de transformation’’, précisent ces deux décrets.

Elle est de 60% du taux débiteur appliqué par les banques et établissements financiers, au titre des investissements réalisés dans tous les autres secteurs d’activités.

Les jeunes promoteurs et chômeurs promoteurs des wilayas des Hauts-Plateaux bénéficient quant à eux de bonifications respectivement de 95% et 80% du taux débiteur appliqué, est-il indiqué.

Ainsi les bénéficiaires de crédits ne supportent que le différentiel non bonifié du taux d’intérêt.

Toutefois, lorsque leurs investissements sont situés dans les wilayas d’Adrar, Tindouf, Ghardaïa, Biskra, Béchar, Laghouat, Ouargla, IIlizi, Tamanrasset et El oued, les bonifications prévues sont portées à 100% du taux débiteur appliqué par les banques et établissements financiers.

Les dispositions de ces décrets s’appliquent également aux échéances des crédits bancaires restant à honorer à la date de la publication du présent décret, soulignent les deux texte, approuvés par le Président de la République et signés par le premier Ministre M. Abdelmalek Sellal le 6 avril dernier.

 

Source: http://www.aps.dz

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Beyte Datacenters : lancement de nouveaux systèmes d’information

La start-up algérienne spécialisée dans les systèmes informatiques, Beyte  Datacenters, vient de concrétiser un important projet de portail «cloud» destiné à offrir des solutions d’information et de communication innovantes et automatisées, aussi bien pour les particuliers que pour les entreprises.

Présenté hier, lors d’une conférence-débat au cyberparc de Sidi Abdellah à Alger, ce nouveau procédé d’information, nous a affirmé Adel Gacem, directeur associé de Beyte Datacenters, est le premier du genre en Algérie dans sa version automatisée et conforme aux normes internationales. Très en vogue sous d’autres cieux, le «cloud», explique notre interlocuteur, est un système qui offre aux utilisateurs, qu’il s’agisse de particuliers ou d’entreprises, la possibilité de disposer d’une ou plusieurs machines localisées à distance pour gérer des données informatiques à travers une simple connexion internet, tout en disposant de matériel à la fois puissant et sécurisé.

Installé sur le marché algérien depuis quelques mois, Beyte Datacenters, nous précise Adel Gacem, dispose d’une équipe d’experts et de consultants algériens très qualifiés, dont certains basés en Algérie et d’autres en Europe. «Notre objectif, est de lancer de nouveaux services en Algérie de façon à mettre le marché local au diapason du monde développé en matière d’utilisation de systèmes d’information modernes.» Dans cet ordre d’idées, avance-t-il, «le projet essentiel pour lequel nous avons créé notre start-up est la mise en place en Algérie du premier data center adapté aux normes internationales».

Il s’agit en l’occurrence, ajoute notre interlocuteur, d’un projet en cours de lancement, qui consiste en l’installation d’un grand centre de traitement de données sur un espace utile de 3000 à 5000 m2. Selon M. Gacem, cette installation de grande envergure, permettra, une fois réalisée, «d’aider aussi bien les entreprises que les institutions publiques à disposer de systèmes d’information suffisamment agiles pour répondre à leur besoins d’efficacité et de compétitivité».

Actuellement, souligne-t-il, les entreprises algériennes, de par l’inertie de leurs systèmes d’information internes, mettent parfois «plusieurs mois pour lancer un nouveau service alors que nous vivons dans un monde de plus en plus interconnecté». Aussi, affirme-t-il, «la réalisation de notre projet de data center offrira aux acteurs économiques la possibilité d’accéder à des systèmes d’information flexibles, compétitifs à même de leur permettre de prendre des décisions stratégiques dans des délais très courts».

 

Source: http://www.elwatan.com

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Mitidja Exposition 2013 sous le slogan ’’Consommer algérien’’

La cinquième édition du salon Mitidja Exposition (Mitex) s’est ouverte, samedi, à l’esplanade du stade Mustapha Tchaker de Blida, avec la participation de plus de quatre-vingt entreprises algériennes.

Organisée sous le slogan ’’Consommer algérien’’, cette manifestation, qui se poursuivra jusqu’au 26 avril, vise à ’’consolider les liens entre l’entreprise algérienne et les consommateurs’’, a souligné le président du club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), Abdelkader Aggoun.

Contrairement aux éditions précédentes, cette cinquième édition de Mitex enregistre la présence de plusieurs entreprises exerçant dans différentes régions du pays. ’’Cette fois-ci, le salon est d’envergure nationale et ne se limite pas aux entreprises de la wilaya de Blida », a précisé M. Aggoun.

Cette foire de la production nationale sera également marquée par la tenue de journées d’études et de débats sur diverses questions d’actualité économique.

’’Les débats seront notamment axés sur la relation entre l’entreprise et le consommateur, la qualité du produit algérien et surtout sur les mécanismes à même d’apporter un nouveau souffle à la production nationale’’, a-t-il souligné.

Les organisateurs tablent sur une grande affluence du public, surtout que cette fois-ci le salon se tient dans des conditions climatiques favorables et que les stands restent ouverts jusqu’à une heure tardive de la journée.

’’La précédente édition a été tenue en mois de février.

 

Source: http://www.aps.dz

 

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HP lance une nouveauté dédiée aux professionnels

A travers cette nouveauté, la tablette HP Elite Pad 900, la marque HP offre aux professionnels du monde du travail et de l’entreprise, au-delà du design, la mobilité et la productivité avec un niveau de sécurité très élevé et un système de protection des donnée des plus performants.

Pour le responsable Vente et Développement Business HP, Cherid Azaoui, qui s’exprimait hier, à l’occasion d’une conférence de presse à Alger, cette nouvelle tablette se présente comme le moyen technologique le plus approprié pour l’entreprise. C’est d’abord à travers l’intégration de Microsoft Windows 8, que cette nouveauté offre une panoplie de fonctionnalités et d’applications permettant, entre autres, la fluidité de la manipulation de l’appareil et aussi le développement d’un système d’information et de sauvegarde des données de l’entreprise. C’est ainsi, que toutes les fonctions ordinairement disponibles dans un ordinateur sont intégrées dans le HP Elite Pad.

Mais le plus grand atout de cette tablette est décidément la mobilité qu’elle offre, en permettant à son utilisateur de se connecter partout. Aussi, le HP Elite Pad 900, est doté d’une capacité de résistance à même de répondre au fameux protocole de tests Mil- Std 810 G, dont les critères sont généralement exigés par l’armée.

Selon Cherid Azaoui, la coquille de cette tablette supporte des poids et des chocs importants. De même que cette tablette dédiée surtout aux professionnels du monde du travail dispose également d’un système de sécurité et de protection des données des plus performants. En effet, en cas de perte de l’appareil, il est possible de le bloquer à distance.

Enfin, il est à signaler que HP Elite Pad comprend des accessoires pratiques, dont un clavier intégré, des ports de connexion, un lecteur de carte SD et une inclinaison réglable, permettant son utilisation de la même manière qu’un PC portable. Ceci, en plus d’une connexion USB et HDMI, une caméra vidéo 1080p intégrée et un appareil photo 8mégapixels (MP), avec flash LED sur sa face arrière. Disponible dans les prochains jours chez les représentants de la marque HP en Algérie, cette tablette, selon toujours Cherif Azaoui, est cédée à un prix très compétitif par rapport à ce qu’offre actuellement le marché algérien.

 

Source: http://www.lesoirdalgerie.com

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