Algérie

Mitidja Exposition 2013 sous le slogan ’’Consommer algérien’’

La cinquième édition du salon Mitidja Exposition (Mitex) s’est ouverte, samedi, à l’esplanade du stade Mustapha Tchaker de Blida, avec la participation de plus de quatre-vingt entreprises algériennes.

Organisée sous le slogan ’’Consommer algérien’’, cette manifestation, qui se poursuivra jusqu’au 26 avril, vise à ’’consolider les liens entre l’entreprise algérienne et les consommateurs’’, a souligné le président du club des entrepreneurs et industriels de la Mitidja (CEIMI), Abdelkader Aggoun.

Contrairement aux éditions précédentes, cette cinquième édition de Mitex enregistre la présence de plusieurs entreprises exerçant dans différentes régions du pays. ’’Cette fois-ci, le salon est d’envergure nationale et ne se limite pas aux entreprises de la wilaya de Blida », a précisé M. Aggoun.

Cette foire de la production nationale sera également marquée par la tenue de journées d’études et de débats sur diverses questions d’actualité économique.

’’Les débats seront notamment axés sur la relation entre l’entreprise et le consommateur, la qualité du produit algérien et surtout sur les mécanismes à même d’apporter un nouveau souffle à la production nationale’’, a-t-il souligné.

Les organisateurs tablent sur une grande affluence du public, surtout que cette fois-ci le salon se tient dans des conditions climatiques favorables et que les stands restent ouverts jusqu’à une heure tardive de la journée.

’’La précédente édition a été tenue en mois de février.

 

Source: http://www.aps.dz

 

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Algérie Télécom fera appel davantage aux jeunes sous-traitants

Algérie Télécom (AT) envisage de faire appel davantage aux entreprises nationales de sous-traitance notamment celles créées par des jeunes, a affirmé mercredi le directeur de la communication du groupe, Abdelhamid Meziani.

« Algérie Télécom compte mobiliser davantage, quand elle ne le fait pas déjà, des micro entreprises créées par le biais de l’Agence nationale de soutien à l’emploi de jeunes (ANSEJ) et recourir à la sous-traitance à travers les entreprises de travaux de réalisation », a-t-il précisé dans un communiqué.

Selon lui, en intervenant comme « le sponsor majeur » de l’édition 2013 du Salon national de l’emploi, le groupe AT a « tenu à réaffirmer sa détermination à aller de l’avant pour que la nouvelle stratégie qu’il déploie dans le domaine des Technologies de l’information et de la communication (TIC) soit porteuse d’espoir » en matière de création d’emploi .

L’opérateur historique, qui emploie actuellement 21.707 travailleurs, ambitionne de renforcer ses effectifs, directement ou indirectement, dans le cadre de la mise à niveau de ses réseaux téléphoniques et du déploiement d’une infrastructure en fibre optique qui concernera 919 localités à travers le pays, a-t-il poursuivi.

Le nouveau réseau de fibre optique permettra le raccordement d’un million d’abonnés supplémentaires en haut débit et l’amélioration de la vitesse de ce dernier, ainsi que le lancement du réseau LTE fixe, a ajouté M. Meziani.

 

Source: http://www.aps.dz

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Plus de 5 milliards de DA pour la garantie des crédits au profit des PME

 Le montant des garanties destinées pour la couverture des crédits bancaires octroyés aux petites et moyennes entreprises (PME), par le Fonds de garantie des crédits bancaires (FGAR),à l’échelle nationale, s’élève à plus de 5 milliards de dinars, a indiqué, mercredi à Djelfa, le directeur général du FGAR.

‘‘Ce montant déboursé, depuis la création du FGAR a profité à plus de 800 projets dont les investissements ont dépassé, au total , 17 milliards de dinars’‘, a précisé Hamidi Abdelhalim , en marge d’une journée de sensibilisation sur ‘‘la bourse du partenariat’‘ , organisée par l’Agence nationale du développement des investissements (ANDI).

Les petites et moyennes entreprises (PME), bénéficiaires de la garantie des crédits d’investissement relèvent de plusieurs créneaux, dont 60 pour cent activent dans le domaine de l’agroalimentaire, suivi par les secteurs des travaux publics et du transport.

‘‘Cette garantie, dont la valeur varie entre 10 et 80% du montant des crédits bancaires contractés, avec un plafonnement à 50 millions de Da , vise à changer le comportement des banques commerciales recourant à l’usage des hypothèques pour garantir les crédits qu’elles octroient’‘, a expliqué ce responsable.

Depuis sa mise en exploitation en 2004, le FGAR a procédé, dans le cadre de son rapprochement de ses prestations, à l’ouverture, en mars 2011, de directions régionales à Oran et Annaba, alors qu’une structure similaire a été implantée, récemment, à Ouargla, a relevé le responsable de ce Fonds.

Durant cette rencontre à laquelle ont pris part des opérateurs économiques, des financiers et autres partenaires de l’acte d’investissement, l’accent a été mis sur l’importance de ‘‘la bourse du partenariat‘‘, qui permet de mettre en place une base de données par l’Agence nationale du développement de l’investissement, contenant toutes les offres de partenariat pouvant émaner aussi bien d’investisseurs nationaux que de partenaires étrangers.

Selon l’ANDI, il a été enregistré, depuis le lancement de cette opération en 2011, de 143 projets, dont 13 investissements étrangers, en quête de partenaires algériens.

 

Source: http://www.aps.dz

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Industries agroalimentaires : la nouvelle loi sur les additifs alimentaires applicable en mai

Le décret exécutif régissant l’utilisation d’additifs dans l’industrie agroalimentaire entrera en vigueur à partir du 16 mai prochain, a annoncé lundi à Alger le président de l’Association des Producteurs algériens de boissons (APAB), Ali Hamani.

« Les textes concernant les additifs alimentaires ont été promulgués il y a une année et ils vont entrer en vigueur le 16 mai prochain », a souligné M. Hamani lors d’une conférence de presse organisée pour présenter le symposium sur la valorisation des produits agricoles dans les boissons, prévu mercredi.

Le décret n°12-214 du 15 mai 2012 fixe notamment la liste des additifs autorisés dans les denrées alimentaires, la liste des catégories d’aliments dans lesquels peuvent être incorporés des additifs alimentaires et la liste des additifs pouvant être incorporés dans des denrées alimentaires ainsi que leurs limites maximales autorisées.

Le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, avait annoncé en octobre dernier l’application de cette nouvelle loi à partir du mois de mai 2013.

Selon le présidant de l’APAB, ce texte devrait apporter plus d’informations au consommateur, puisque tous les additifs incorporés dans les produits alimentaires doivent être mentionnés sur l’emballage pour améliorer la traçabilité des produits.

« Ce texte a pris en considération toutes les règles et les normes internationales. C’est important notamment pour les boissons, dont l’exportation exige un produit répondant aux normes internationales », a-t-il expliqué.

M. Hamani a par ailleurs annoncé qu’un autre décret concernant le droit à l’information sur les produits agroalimentaires au consommateur est actuellement en cours d’élaboration.

Interrogé par la presse sur le taux élevé de sucre utilisé dans les boissons, M. Hamani a reconnu cet excès, et a promis d’en réduire le taux.

« Le taux de sucre utilisé dans les boissons est effectivement élevé. Nous avons reçu un questionnaire des ministères de la Santé, du Commerce et de la Fédération des Consommateurs signalant ces doses » élevées, a-t-il précisé.

Actuellement, « nous sommes en train de réfléchir pour proposer un certain nombre de mesures pour réduire ce taux et revenir aux normes internationales » admises, ajoute M. Hamani.

L’APAB a été créée en 2003, et compte quelque 40 adhérents qui brassent plus de 85% du marché national des boissons.

 

source: http://www.aps.dz

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La CNAC ouverte à la création de micro-entreprises dans les différents secteurs d’activités

Le directeur général de la Caisse nationale d’assurance chômage (CNAC), Ahmed Chaouki Taleb, a affirmé mercredi à Alger que cette caisse est ouverte à la création de micro-entreprises dans tous les secteurs d’activités dans la région du Sud.

« La CNAC est ouverte pour la création de micro-entreprises dans tous les secteurs d’activités dans la région du Sud, mais l’implication des autorités locales pour définir les besoins exprimés est nécessaire », a indiqué M. Taleb dans une déclaration à l’APS.

Le chiffre total de création d’activité a atteint 34.801 micro-entreprises en 2012, dont 15 % ont été créées dans le cadre dispositif CNAC au sud du pays, dans plusieurs secteurs d’activités notamment dans l’agriculture et le transport de marchandise.

Il a soutenu, par ailleurs, que l’instruction du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, relative à la gestion de l’emploi dans les wilayas du Sud, est un « nouvel élan » dans la création de la richesse, estimant que l’implication des autorités locales dans la mise en œuvre de cette instruction « est un nouveau souffle » pour l’économie de la région.

Cette instruction « encouragera » d’avantage les jeunes de la région notamment en matière de création d’emploi et « obligera » les autorités locales à s’impliquer dans la prise en charge de ces jeunes, a-t-il encore affirmé.

Mettant l’accent sur certains métiers, M. Taleb a indiqué qu’il y a une multitude de domaines d’activités dans le Sud, qui ouvre une opportunité pour diversifier la création d’entreprises.

Dans ce contexte, le même responsable a cité, à titre d’exemple, les activités liées à l’agriculture (l’élevage, création de pâturage d’eau), l’artisanat (les métiers manuels), le tourisme (le guide touristique-transport touristique), les services (des véhicules aménagés dans la restauration pour les touristes dans le grand désert), ainsi que d’autres activités porteuses d’emploi et créatrice de richesses dans la région.

Il s’agit également de la création de micro-entreprises dans le domaine culturelle, pour la création de grands studios cinématographiques pour le tournage de films, sachant que la région du Sud déborde de grands espaces.

Dans le domaine sportif, M. Taleb a cité d’autres possibilités d’activités comme la création de piscines et l’organisation de courses de chameaux, à titre d’exemples.

« Suite à cette instruction, la CNAC a instruit toutes ses antennes dans la région pour renforcer le recensement en matière des besoins exprimés par les communes des dix wilayas du Sud, en matière de secteurs d’activités », a-t-il indiqué.

Dans le même contexte, il a relevé l’importance de la formation des jeunes dans les différents métiers, mettant l’accent sur la nécessité de créer des centres de formation dans la région et dans plusieurs secteurs d’activités afin de favoriser la main d’œuvre qualifiée et spécialisée.

La bonification du taux d’intérêt des prêts accordés par les banques, dans la cadre des dispositifs de soutien à la création de micro activités, qui sera porté à hauteur de 100 % pour les projets initiés par les jeunes promoteurs et les chômeurs promoteurs dans les dix wilayas du Sud, « permettra la multiplication du nombre micro-entreprises qui seront réalisées et doublera la création d’emploi », a-t-il assuré.

Concernant l’application stricte des dispositions de l’article 55 ter du code de l’opérateur des marchés publics qui réserve un quota de 20 % de la commande publique aux micro-entreprises, M. Taleb a rappelé que ces dispositions ont étaient instruites par le Conseil des ministres du mois de février 2011, déplorant, toutefois, le fait qu’elles n’avaient pas été suivies d’effet sur le terrain.

Ces dispositions (20% de la commande publique aux micro-entreprises) ont été appliquées uniquement dans la wilaya de Constantine qui a enregistré la création de 12 micro-entreprises dans la cadre du dispositif CNAC, en collaboration avec certains APC de la wilaya et 2 autres dans la wilaya d’Alger, a-t-il relevé.

Par ailleurs, il indiqué que le chiffre totale en matière d’activités créées dans le cadre du dispositif CNAC, en 2012, a atteint « 34.801 micro-entreprises, dont 15 % réalisées dans le Sud et dans plusieurs secteurs d’activités.

Concernant les jeunes aux besoins spécifiques, il a indiqué que durant l’année 2012, plus de 65 micro-entreprises ont été créées au niveau national par les handicapés dont 10 micro-entreprises dans le Sud.

 

Source: http://www.aps.dz

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Les Turcs veulent prendre des participations dans des EPE de textile

Les visites d’hommes d’affaires turcs en Algérie sont désormais organisées par secteur d’activité. L’ambassade de Turquie en Algérie a changé son mode opératoire.

«Les délégations multisectorielles se sont avérées infructueuses. Nous avons conclu qu’il faut cibler des créneaux où nos entreprises ont des chances de décrocher des marchés», a expliqué Erhan Karakoç, attaché commercial adjoint de la mission diplomatique turque. Hier à l’hôtel Sofitel d’Alger, une rencontre «B to B» s’est tenue entre des exportateurs turcs de produits électro- technologiques et des acheteurs potentiels algériens. Cette mission commerciale a vu la participation de 13 PME turques opérant dans les domaines de câblerie, les énergies renouvelables, la fabrication de transformateurs et générateurs, etc. A savoir, 2M Cable, Demas Cable, Hes Cable, Fiule Cable, Turkuaz Cable, Erse Cable, EAE Elektronic Inc., Elektra Elektronik INC., Emek Electrical Industry INC., Entes Electronic, Europower Energy CO., Federal Electric, Istanbul Energy et Ugur Türkyurt INC.

Une centaine d’entreprises algériennes, Sonelgaz et Mobilis entre autres, ont été invitées à déléguer des représentants. Bref, la Turquie, a indiqué le conseiller commercial de son ambassade à Alger, s’est fixé l’objectif de doubler dans cinq ans les échanges commerciaux avec l’Algérie, actuellement de l’ordre de 5 milliards de dollars, dont deux milliards d’exportations et trois milliards d’importations, essentiellement de GNL. «Dans un premier temps, les exportateurs de produits électro-technologiques présents veulent commercer», a-t-on précisé. Et de souligner sur un autre plan, que les investissements directs turcs en Algérie ont atteint 1 milliard de dollars américains avec la signature jeudi dernier par Tosyali, d’un contrat avec l’ANDI pour le montage d’une usine d’acier et de fer pour un montant de 300 millions USD. Une usine qui s’ajoute à celles déjà en activité, celle de l’agroalimentaire à Constantine (Bifa) et celle des détergents à Blida (Hayat). D’autres investisseurs turcs démarchent toujours l’Etat algérien pour investir dans d’autres créneaux.

Ainsi, l’on apprend qu’un grand industriel du textile est en négociation avec les autorités algériennes pour une prise de participation dans deux entreprises publiques de textile, l’une installée à Annaba et l’autre à Relizane. Les diplomates présents à cette rencontre «B to B» ont évité de révéler le nom de l’industriel turc. «L’annonce sera faite quand les négociations auront abouti», s’accorde-t-on à dire. La visite du ministre turc de l’Economie, qui se prépare à pied d’œuvre, de part et d’autre, pourrait être riche en matière d’accords.

 

Source: http://www.lesoirdalgerie.com

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ISSAL, Cloud Service Provider pour entreprises algériennes… dans les «nuages» et à Oran

Le « Cloud Computing » ou « l’informatique dans les nuages », un concept récent qui permet l’accès à des ressources Data hébergées dans des serveurs, fait ses premiers pas en Algérie. ISSAL, le premier CSP (Cloud Service Provider) du pays, qui représente de prestigieux acteurs du Web comme Google, lance son propre Data-Center pour les entreprises et les administrations.

Une première offre locale de service Cloud Computing a été mise sur le marché par l’ISP (Internet service Provider) algérien ISSAL. « Nous n’avons rien à envier à des entreprises qui offrent des services Cloud et de hosting (hébergement, ndlr) un peu partout dans le monde. Nous sommes installés à Oran et représentons des noms prestigieux comme Google ou Asigra. D’autres noms tous aussi prestigieux viendront compléter notre offre », explique à Maghreb Emergent/ Le Quotidien d’Oran, Zine Seghier, Manager Général de ISSAL. Pour lui, le Cloud n’est assurément pas un phénomène de mode et il ne s’agit nullement de technologie « mais de business process ». Selon la définition faite sur le site Web de ISSAL, le Cloud Computing est la mise à disposition de systèmes, d’applications ou de données hébergées dans un Data-Center hautement sécurisé, et les rendre accessibles de partout via Internet. C’est également la possibilité de consommer des services informatiques à la demande à travers Internet sans avoir à se soucier de problèmes d’infrastructures, de maintenance, de mise à jour et de sécurité. Notre interlocuteur définit son entreprise comme un ISP « dûment agréé par l’ARPT » dont le service ne se cantonne pas uniquement à l’accès. « Nous avons un modèle économique un peu différent de celui de nos collègues. Ils font un très bon travail chacun dans son domaine et sont particulièrement spécialisés. Nous croyons par ailleurs fermement en un système de “compétition” où justement un véritable écosystème est mis en place entre les différents acteurs ce qui leur permet de coopérer ensemble tout en étant concurrents », explique-t-il plaidant pour une mutualisation de l’infrastructure de l’opérateur historique Algérie Télécoms à l’image de celle des MVNO dans le monde de la téléphonie mobile. Zine Seghier croit en l’avenir du Cloud en Algérie. Car, dit-il, « nos entreprises ont les mêmes besoins que toutes les entreprises du monde entier ». « ISSAL est un des rares CSP dans le monde Arabe et dans le continent. Nous avons investi dans une des plateformes les plus modernes de l’industrie et nous avons un Data-Center totalement virtualisé basé dans le pays et au service de nos entreprises », explique-t-il.

Un marché de Cloud à créer

L’offre actuelle s’adresse aux entreprises et « va s’étendre graduellement au marché de masse avec des offres bien spécifiques », promet-il. Si notre interlocuteur croit dur comme fer en un marché local, c’est parce qu’il estime que l’utilisation d’un stockage de données au sein même de l’entreprise n’a plus beaucoup de sens. Selon lui, avec le flux d’informations qui circulent, les moyens de stockage habituels ne sont d’aucune utilité. Parce qu’ils ne font que dupliquer les données de l’entreprise. « Et si un fichier corrompu est dupliqué vingt fois, ça nous donnera vingt fichiers corrompus ! Ensuite vient la restauration. Si ce même fichier devait être restauré, la catastrophe est assurée », dit-il encore, tout en rappelant que plus de 80% des entreprises qui perdent leurs données déposent le bilan dans les deux années qui suivent la catastrophe. Pour lui, les entreprises ont aujourd’hui, grâce au Cloud, la possibilité de sauvegarder leurs données, de dupliquer leurs ressources informatiques, et d’optimiser leurs propres ressources. Quelles sont les garanties du Cloud ? Selon notre interlocuteur, cette grande question peut trouver une réponse dans la virtualisation, le propre du Cloud, qui permet de dispatcher les données sur plusieurs serveurs et donc difficiles à saisir dans leur intégralité. Il rappelle, à ce propos, qu’une des plus grandes banques mondiales classée dans le top 10 et avec plus de 100,000 employés à travers le monde utilise Google Apps. De même pour l’un des plus grands fabricants d’accessoire automobiles, qui compte plus de 30,000 employés, ou un des plus gros pétrochimistes avec près de 20,000 employés. Il rappelle aussi qu’ISSAL est le représentant de Google Entreprise ou « Reseller for Enterprise » qui travaille dans la protection des données de l’entreprise, avec la mise à disposition de la plateforme de Cloud VPS.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com

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Le Cloud Computing arrive en Algérie par Oran

A l’heure où les technologies du haut débit mobile tarde à s’installer en Algérie, et où les dirigeants des entreprises de ce pays sont de plus en plus méfiants à l’égard des processus d’intégration des outils du numérique dans la gestion des moyens de fonctionnement, le Cloud Computing (littéralement : l’informatique dans les nuages) arrive silencieusement dans l’environnement des services informatiques algériens. Le fournisseur d’accès aux services d’Internet Issal est devenu historiquement le premier «Cloud Services Provider» algérien. A partir de la possibilité de disperser un système d’information sur des serveurs multiples à forte capacité et accessibles sur Internet via des liaisons à haut débit, cette compagnie oranaise a mis au point la première solution de dématérialisation des salles informatiques basée sur un Cloud privé.

Baptisée iSV (Issal Secure Vault), cette prestation informatique vise à permettre aux entreprises, dépourvues des gros moyens de stockage sécurisé et surtout de la culture de la protection des données, de bénéficier en ligne des ressources software virtuellement illimitées en capacité de mémoire et en puissance de calcul grâce à la technologie Saas (Software as a Service) et sans obligation d’achat de licences. Le résultat est assez étonnant. Issal a implanté, à Oran, le premier data-center de l’histoire de l’informatique en Algérie, dans le but de donner la possibilité aux sociétés d’éliminer le risque de voir leurs données disparaître en utilisant le procédé d’externalisation de leurs infrastructures voire leurs logiciels. Pour Zine Seghier, DG d’Issal, le Cloud Computing n’est plus un buzzword technologique, mais est devenu une nécessité pour des compagnies parmi lesquelles des assureurs, hébergeurs de sites web, concessionnaires d’automobiles et opérateurs des télécommunications.

Pour le fondateur d’Issal, il n’y a plus de raisons qui justifient que hébergeurs fassent la promotion du .com et au payement au black des serveurs localisés hors des frontières du pays. Son entreprise qui dispose désormais d’un data-center aussi performant et sécurisé que ceux utilisés par les leaders du providing dans le monde et d’un réseau électrique ultramoderne, cherche donc à inverser la tendance de l’achat des domaines. Il veut inciter les PME du pays à imiter Google et faire confiance au .dz. Issal qui va devenir la seule marque qui optimise la consommation de la bande passante internationale d’Algérie Télécom.

 

Source: http://www.lequotidien-oran.com

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Une économie à la recherche de nouveaux boucs émissaires

Le gouvernement multiplie les facilités accordées aux entreprises, mais les résultats tardent. Les banques, souvent accusées de constituer un handicap pour l’économie algérienne, se rebiffent. Il faut chercher la faille ailleurs, disent les banquiers, qui refusent d’être les éternels boucs émissaires. Ce qui ouvre de nouvelles pistes. Et si le gouvernement établissait un diagnostic erroné, ce qui l’amène à proposer de fausses solutions ?

Et si les banques algériennes étaient hors de cause ? Systématiquement mises en accusation dans les faibles performances de l’économie algérienne, les banques communiquent peu. Elles ne se défendent même pas. Seule l’ABEF (Association des Etablissements bancaires et Financiers) s’exprime ponctuellement en leur nom. Se sentent-elles coupables ? Non, nous dit un économiste, « les banques publiques ne disent rien parce qu’elles redoutent leur tutelle. Les banques étrangères installées en Algérie se contentent de gagner de l’argent, beaucoup d’argent. Pourquoi auraient-elles besoin de communiquer du moment qu’elles croulent sous les bénéfices ?».

Pourtant, hier encore, M. Réda Hamiani, le patron du Forum des Chefs d’entreprises, affirmait que les entreprises algériennes ne prenaient pas d’envergure notamment en raison du refus des banques de les « accompagner ». Selon lui, les banques « n’accordent pas assez de facilités » aux entreprises. Mais la déclaration de M. Hamiani contre ce bouc-émissaire traditionnel est de plus en plus contestée. Les banquiers ont d’ailleurs beau jeu de rappeler, en privé, le peu d’envergure des entreprises, leur gestion traditionnelle, et leur incapacité à monter de vrais projets, souvent à cause de leur propre faiblesse managériale.

M. Djamel Benbelkacem, directeur-conseiller à la Banque d’Algérie, s’est frontalement attaqué au discours des organisations patronales, en révélant l’ampleur des opérations de crédit durant l’année 2012. Les crédits à l’économie ont augmenté de 15,3% en 2012, a-t-il dit. Les banques ont accordé 4.300 milliards de dinars (57 milliards de dollars), dont 68% sont des crédits à long terme destinés à l’investissement.

Il a aussi balayé d’un revers de la main les clichés accolés aux banques. Contrairement aux idées reçues, le crédit bénéficie davantage au secteur privé (53%) qu’au public. En outre, les banques prennent des risques. Preuve en est donnée par les crédits considérés comme « non performants », qui s’établissent à 16%, un taux très élevé.

Les banquiers bottent en touche

Et puis suprême argument, les banques publiques algériennes et les banques étrangères installées en Algérie travaillent au même rythme. « L’accroissement du crédit se fait au même rythme dans les banques privées et dans les banques publiques », selon M. Benbelkacem. Les banques publiques algériennes seraient-elles, dès lors, aussi performantes que les banques étrangères ?

L’argument conforte, en tous cas, les propos tenus par l’ancien président de l’ABEF, M. Abderrahmane Benkhalfa. Tout en reconnaissant les faiblesses des banques, M. Benkhalfa avait rejeté la balle dans le camp adverse. Certes, a-t-il dit, les banques ont raté le virage de la modernisation, n’assurent pas un maillage suffisant du tissu économique et social, et croulent sous des liquidités qu’elles n’arrivent pas à placer. Mais est-ce de leur faute s’il n’y a pas non plus assez d’entreprises, ni assez de demandes de crédit, et si les entreprises sont mal managées, ce qui les empêche d’accéder facilement au crédit ?

Si les banques se rebiffent, et refusent d’assumer le rôle de bouc-émissaire, il faut trouver d’autres explications pour expliquer la faible performance de l’industrie algérienne, qui réalise à peine 4.6% du PIB, un chiffre dérisoire. Deux boucs-émissaires ont été récemment mis en avant. Les entreprises privées mettent en cause le fameux « climat des affaires ». Le ministre de l’industrie, M. Cherif Rahmani, reconnait que ce climat est « déplorable ». Du coup, le patronat met la pression, dénonce, par la voix de M. Hamiani, la « bureaucratie », qui constitue une « pollution » pour l’économie algérienne, et demande une « amélioration » de ce fameux « climat des affaires.

Mais la question reste posée : comment améliorer le climat des affaires ? S’agit-il de mesures juridiques, règlementaires, financières ou politiques ? S’agit-il d’offrir davantage de facilités ? Et lesquelles ? Personne ne sait de quoi il s’agit au juste. De nouvelles rencontres sont organisées cette semaine pour examiner ce dossier, selon le patronat, qui se félicite de l’entente cordiale qui règne entre lui et le gouvernement.

Diagnostic erroné

Cette détente n’est toutefois pas une garantie de solutions, car « tout laisse penser qu’on s’achemine de nouveau vers diagnostic erroné », nous dit un économiste. « Le gouvernement ne veut pas se rendre à l’évidence : en Algérie, les conditions sont telles qu’il est plus facile d’importer que de produire localement », nous dit cet économiste, pour qui le gouvernement est « doublement piégé ». D’une part, l’Algérie a signé, notamment avec l’Union européenne, des accords pénalisants, qui rendent impossible l’émergence d’une industrie algérienne. D’autre part, le gouvernement ne peut pas prendre des décisions qui s’imposent, en augmentant les taxes sur les produits importés, par exemple, car il redoute une explosion sociale. « Résultat : le gouvernement établit des diagnostics erronés, propose de fausses solutions, pour aboutir aux mêmes résultats ». Cet économiste estime que «les entreprises profitent pleinement de cette situation, et c’est de bonne guerre, mais pour le gouvernement, il ne s’agit pas d’annoncer de bonnes intentions, mais de changer de cap ».

Second bouc-émissaire souvent cité pour expliquer le faible rendement des entreprises, publiques cette fois, la « pénalisation des actes de gestion ». Cet argument est mis en avant pour justifier la léthargie que connait ce secteur. Mais là encore, un ancien patron de grande entreprise estime que «ce n’est qu’un prétexte ». « L’argument était valable quand les entreprises étaient autonomes, avec des PDG qui pouvaient définir des programmes et les exécuter. Ce n’est plus le cas. Les ministères ont repris le contrôle total des entreprises. Celles-ci ne sont plus que des antennes administratives », dit-il, qui peut imaginer aujourd’hui que les patrons de Sonatrach, Sonelgaz, Air Algérie ou Cosider soient libres de définir la politique de leurs entreprises respectives ?

Selon cet ancien PDG, « les ministères ont repris le contrôle total des entreprises ». « Avant de parler de dépénalisation des actes de gestion, il faut d’abord rendre aux entreprises leur pouvoir».

 

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Nedjma signe avec l’Agence de développement de la PME

Le premier pas du partenariat pour l’innovation et le soutien technologique à l’entreprise (PISTE) vient d’être lancé par le biais d’une convention liant Nedjma et l’Agence nationale de développement de la PME (ANDPME). En effet, l’opérateur Nedjma répond favorablement, pour la prise en charge d’une partie du programme de développement des outils technologiques et à l’aide à l’innovation des porteurs de projets et futures start-up. C’est dans cet objectif que la convention a été signée, hier, à l’hôtel Aurassi, entre le groupe Nedjma et l’ANDPME, en présence d’un parterre de chefs d’entreprises et des présidents d’associations patronales. A l’issue de la cérémonie, le DG de Nedjma a indiqué que «ce partenariat s’articule autour de deux volets : l’un visant à soutenir, dans le domaine des TIC, les entreprises existantes et un second volet visant à promouvoir la création et la croissance de start-up innovantes par les jeunes algériens». Le DG de l’ANDPME, Rachid Moussaoui, dira pour sa part qu’il s’agit «de l’appropriation de logistiques de la plate-forme T-Start et I-Start». Ces deux applications touchent ainsi au réseau Internet, l’intranet et l’extranet, la sauvegarde des données, le business intelligent et l’e-commerce. Un éventail de services qui sera mis à disposition de ces entreprises (existantes et celles en devenir)».

Joseph Ged, patron de Nedjma donne plus de précisions sur cette initiative qui vise, selon lui, à «des services qui se déclinent en solutions technologiques adaptées aux besoins des entreprises». Il n’est plus besoin d’acheter ces plates-formes technologiques coûteuses puisque Nedjma va les héberger et les commercialiser à des prix réduits. L’opérateur de téléphonie mobile et des services multimédia va garantir, dans le même sillage, la promotion du domaine dz, ce qui va certainement réjouir les entreprises locales qui étaient obligées d’être hébergées chez des fournisseurs étrangers. Et c’est là que Réda Hamiani, président du FCE s’est félicité de l’utilité de cette démarche qui, selon lui, « va réduire la fracture numérique, tout en aidant à un accès plus significatif à l’Internet». Les entreprises sont concernées directement par un apport de l’innovation qui va améliorer leur compétitivité. Le ministre de l’Industrie, Chérif Rahmani a exprimé également sa satisfaction en considérant que «ce partenariat n’est qu’une partie du programme de la stratégie du gouvernement, en matière de développement et la généralisation des technologies d’avenir pour les entreprises publiques et privées».

 

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