L’offensive russe, ordonnée par le président Vladimir Poutine, dans l’Est de l’Ukraine a provoqué une hausse des prix du pétrole. Avec des records jamais enregistrés depuis presque 8 ans.
En effet, la déclaration de guerre de la Russie à l’Ukraine a fait bondir les cours du pétrole à l’ouverture sur les marchés européens. Ces derniers jours on enregistre des records.
En effet après le record enregistré hier, ce jeudi 3 mars 2022, le baril de Brent de la mer du Nord, référence pour le Sahara Blend algérien, s’affiche à près de 120 dollars, un niveau jamais atteint depuis avril 2012.
A 08h55, il a atteint 119,55 dollars, en hausse de plus de 4 % par rapport à la clôture d’hier mercredi 2 mars. Sur les cinq dernières séances, le Brent a carrément flambé en gagnant plus de 20%.
Au-delà de la crise en Ukraine, cette flambée des prix du pétrole s’explique aussi par la baisse des réserves stratégiques de pétrole aux Etats-Unis qui sont tombés la semaine dernière au plus bas en près de 20 ans, selon l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA).

L’offensive russe, ordonnée par le président Vladimir Poutine, dans l’Est de l’Ukraine a provoqué une hausse des prix du pétrole. Avec des records jamais enregistrés depuis presque 8 ans.
En effet, la déclaration de guerre de la Russie à l’Ukraine a fait bondir les cours du pétrole à l’ouverture sur les marchés européens. Ces derniers jours on enregistre des records.
En effet après le record enregistré hier, ce jeudi 3 mars 2022, le baril de Brent de la mer du Nord, référence pour le Sahara Blend algérien, s’affiche à près de 120 dollars, un niveau jamais atteint depuis avril 2012.
A 08h55, il a atteint 119,55 dollars, en hausse de plus de 4 % par rapport à la clôture d’hier mercredi 2 mars. Sur les cinq dernières séances, le Brent a carrément flambé en gagnant plus de 20%.
Au-delà de la crise en Ukraine, cette flambée des prix du pétrole s’explique aussi par la baisse des réserves stratégiques de pétrole aux Etats-Unis qui sont tombés la semaine dernière au plus bas en près de 20 ans, selon l’Agence américaine d’information sur l’énergie (EIA).