Archives for Gestion Quotidienne

Sécurité dans l’Entreprise

La fonction sécurité est obligatoire dans toutes les entreprises. Les chefs d’établissements sont tenus de gérer la prévention des risques professionnels pour assurer la sécurité et protéger la santé des travailleurs de l’établissement, y compris les travailleurs temporaires.

L’Employeur

Le chef d’établissement prend les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger les travailleurs de l’établissement, y compris les travailleurs temporaires. Ces mesures comprennent des actions de prévention des risques professionnels, d’information et de formation ainsi que la mise en place d’une organisation et de moyens adaptés

Le chef d’établissement met en œuvre les mesures prévues sur la base des principes généraux suivants:

  • Éviter les risques
  • Évaluer les risques qui ne peuvent être évités
  • Combattre les risques à la source
  • Adapter le travail à l’homme (conception du poste de travail)
  • Tenir compte de l’état d’évolution de la technique
  • Remplacer ce qui est dangereux par ce qui n’est pas dangereux ou moins dangereux
  • Planifier la prévention
  • Prendre des mesures de protection collective en leur donnant la priorité sur les protections individuelles
  • Donner les instructions appropriées aux travailleurs

Les Salariés

Conformément aux instructions qui lui sont données par l’employeur, dans les conditions prévues au règlement intérieur, il incombe à chaque travailleur de prendre soin, en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa sécurité et de sa santé ainsi que de celles des autres personnes concernées du fait de ses actes ou de ses omissions au travail

La Direction

  • Il faut que la sécurité soit partie intégrante de la production dans l’entreprise.
  • C’est à la direction qu’incombe de prendre l’initiative de la promotion de la sécurité au travail.
  • La direction doit être convaincue que tout accident est le résultat d’un dysfonctionnement dans l’entreprise.

Les Délégués du Personnel

Les DP sont élus dans les établissements occupant au moins 11 salariés.

Ils présentent aux employeurs toutes les réclamations collectives ou individuelles relatives à l’application des lois (protection sociale, hygiène et sécurité…)

Création éventuelle d’un Comité de Sécurité dans l’entreprise

  • Procède à l’analyse des risques et des conditions de travail
  • Effectue des enquêtes après AT et MP
  • Donne son avis sur le règlement intérieur
  • Est consulté avant toute décision de transformation de postes et des conditions de travail
  • Concourt à la formation « sécurité » dans l’entreprise

La Médecine du Travail

Le rôle du médecin du travail est exclusivement préventif.

Il consiste à éviter toute altération de la santé des travailleurs en surveillant les conditions d’hygiène de travail, les risques de contagion et l’état de santé des travailleurs.

Le médecin du travail est le conseiller de l’employeur et des travailleurs en ce qui concerne :

  • L’amélioration des conditions de vie et de travail
  • L’hygiène générale de l’établissement
  • La protection des salariés contre l’ensemble des nuisances

 

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Les ressources technologiques

Les ressources technologiques ne sont pas seulement les techniques et les différents outils et machines acquis pour produire des biens et services. Les ressources technologiques comprennent l’ensemble des équipements mais aussi toutes les techniques, expertises, méthodes, approches et routines de travail utilisées dans l’entreprise. En effet, outre les instruments et la machinerie, les ressources technologiques traduisent le tout productif de l’Organisation, l’ensemble des savoir-faire et des pratiques (parfois brevetés) ayant cours dans le processus d’organisation et de production. Elles traduisent le mode organisationnel et opératoire construit par les employés à l’occasion de leur échanges et production quotidiens. Face aux changements techniques, parfois majeurs, les entreprises sont constamment sollicitées à revoir, et si nécessaire, à renouveler leurs outils, appareils et modes de production. Ne pas tenir compte des nombreux progrès et changements techniques réalisés, des nouvelles approches pour s’organiser et produire, des outils et techniques de l’information, des méthodes de communication et de négociation, serait fatal pour l’entreprise et sa pérennité. Renouveler ses ressources technologiques pour améliorer son rendement et pouvoir produire plus efficacement, plus proprement et de manière plus écologique est aujourd’hui un impératif économique et social majeur.

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Définition de l’Audit Interne

L’audit interne est une procédure indépendante, objective et neutre, exercée en équipe au sein d’une entreprise par des personnes formées. Cette activité a pour but d’induire une amélioration des performances de l’entreprise en s’assurant de son bon fonctionnement et en apportant des conseils.
Grâce à une technique systématique et organisée, l’audit permet à l’entreprise d’atteindre les objectifs visés. Il s’agit d’une approche de perfectionnement des processus de gestion des risques, de surveillance et de gouvernance d’entreprise.

L’audit interne n’est pas chargé de produire des rapports mais plutôt d’aider l’entreprise à atteindre ses objectifs, même si ça se fait le plus souvent par l’émission d’un compte-rendu comportant plusieurs recommandations.

En cas de dysfonctionnement au sein de l’entreprise, l’audit interne est tenu de décrire de façon détaillée le problème et les risques (diagnostic et pronostic) en vue d’une mise au point. Ce processus comporte des contrôles réguliers (malgré que la définition ne le mentionne pas) dans le cadre d’investigations chargées de veiller au bon déroulement des opérations. Dans certains cas, ces contrôles peuvent paraître incongrus et déplacés.

Mais ils sont nécessaires pour avoir une vue d’ensemble du fonctionnement global de l’entreprise.

Suite à ce suivi, des recommandations sont émises. L’auditeur interne est dans l’obligation de revenir sur le terrain pour constater qu’elles ont bel et bien été mises en œuvre. Il ne faut pas oublier que l’audit interne est exigible d’une prestation de service. Elle doit être en mesure d’induire des résultats positifs réels et concrets.

Donc, de façon générale, l’audit interne a un champ d’action qui touche principalement trois processus :

  • Améliorer les procédures de contrôle.
  • Optimiser la gouvernance d’entreprise.
  • Perfectionner le management de risque.

Le management de risque est une notion intriquée. En effet l’audit interne est en mesure de gérer les facteurs pouvant entraver la réalisation d’un objectif en procédant à l’adaptation de l’organisation. Il faut savoir qu’un risque se matérialise par la survenue d’un évènement contraignant ne s’adaptant pas avec le mode de fonctionnement actuel. Ainsi il peut être à l’origine d’un échec dans l’atteinte des objectifs. Donc, il est important de savoir que ce n’est pas l’évènement fortuit qui est la cause de l’échec mais plutôt la non prévoyance du risque et le maintien de la même organisation.

On peut prendre un exemple simple pour introduire cette notion ;
« Vous sortez de chez vous à l’heure à laquelle vous êtes habitué de sortir. Il s’agit ici du mode de fonctionnement, c’est-à-dire l’organisation [sortir à une heure bien déterminée].
Cependant vous êtes ralenti par les embouteillages. Il s’agit dans ce cas de la matérialisation d’un risque [évènement fortuit + organisation non adaptée].
Donc, il est erroné de penser que le retard qui en découle [échec de l’objectif] est dû aux embouteillages [évènement, incident].
Vous devez plutôt être prévoyant et modifier l’heure à laquelle vous sortez [adaptation de l’organisation] pour espérer arriver à l’heure [objectif atteint]. »

L’audit interne met en place un système similaire de gestion de risque en agissant au niveau du fonctionnement de l’entreprise pour éviter les échecs.

Dans cette optique, il est donc possible de définir le management de risques comme étant une procédure à trois temps (avant, pendant et après)

  • Prévention : limiter la matérialisation du risque (en modifiant le mode de fonctionnement).
  • Détection : se rendre compte que le risque redouté s’est finalement produit.
  • Protection : suite à la détection, il est possible de limiter les conséquences de l’échec.

Grâce à une technique systématique et organisée, l’audit permet à l’entreprise d’atteindre les objectifs visés. Il s’agit d’une approche de perfectionnement des processus de gestion des risques, de surveillance et de gouvernance d’entreprise.

L’audit interne n’est pas chargé de produire des rapports mais plutôt d’aider l’entreprise à atteindre ses objectifs, même si ça se fait le plus souvent par l’émission d’un compte-rendu comportant plusieurs recommandations.

En cas de dysfonctionnement au sein de l’entreprise, l’audit interne est tenu de décrire de façon détaillée le problème et les risques (diagnostic et pronostic) en vue d’une mise au point. Ce processus comporte des contrôles réguliers (malgré que la définition ne le mentionne pas) dans le cadre d’investigations chargées de veiller au bon déroulement des opérations. Dans certains cas, ces contrôles peuvent paraître incongrus et déplacés.

Mais ils sont nécessaires pour avoir une vue d’ensemble du fonctionnement global de l’entreprise.

Suite à ce suivi, des recommandations sont émises. L’auditeur interne est dans l’obligation de revenir sur le terrain pour constater qu’elles ont bel et bien été mises en œuvre. Il ne faut pas oublier que l’audit interne est exigible d’une prestation de service. Elle doit être en mesure d’induire des résultats positifs réels et concrets.

Donc, de façon générale, l’audit interne a un champ d’action qui touche principalement trois processus :

  • Améliorer les procédures de contrôle.
  • Optimiser la gouvernance d’entreprise.
  • Perfectionner le management de risque.

Le management de risque est une notion intriquée. En effet l’audit interne est en mesure de gérer les facteurs pouvant entraver la réalisation d’un objectif en procédant à l’adaptation de l’organisation. Il faut savoir qu’un risque se matérialise par la survenue d’un évènement contraignant ne s’adaptant pas avec le mode de fonctionnement actuel. Ainsi il peut être à l’origine d’un échec dans l’atteinte des objectifs. Donc, il est important de savoir que ce n’est pas l’évènement fortuit qui est la cause de l’échec mais plutôt la non prévoyance du risque et le maintien de la même organisation.

On peut prendre un exemple simple pour introduire cette notion ;
« Vous sortez de chez vous à l’heure à laquelle vous êtes habitué de sortir. Il s’agit ici du mode de fonctionnement, c’est-à-dire l’organisation [sortir à une heure bien déterminée].
Cependant vous êtes ralenti par les embouteillages. Il s’agit dans ce cas de la matérialisation d’un risque [évènement fortuit + organisation non adaptée].
Donc, il est erroné de penser que le retard qui en découle [échec de l’objectif] est dû aux embouteillages [évènement, incident].
Vous devez plutôt être prévoyant et modifier l’heure à laquelle vous sortez [adaptation de l’organisation] pour espérer arriver à l’heure [objectif atteint]. »

L’audit interne met en place un système similaire de gestion de risque en agissant au niveau du fonctionnement de l’entreprise pour éviter les échecs.

Dans cette optique, il est donc possible de définir le management de risques comme étant une procédure à trois temps (avant, pendant et après)

  • Prévention : limiter la matérialisation du risque (en modifiant le mode de fonctionnement).
  • Détection : se rendre compte que le risque redouté s’est finalement produit.
  • Protection : suite à la détection, il est possible de limiter les conséquences de l’échec.
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Comment faire un tableau de bord de pilotage d’entreprise ?

Un tableau de bord d’entreprise est avant tout un outil d’évaluation et de mesure de la performance de l’organisation d’une entreprise ou d’une institution. Il est constitué de plusieurs indicateurs de cette performance à des moments donnés ou sur des périodes choisies.

Il sert essentiellement à :

  • Anticiper les baisses de revenus
  • Profiter au maximum et plus efficacement des occasions qui se présentent à l’entreprise
  • Allouer plus efficacement les ressources de l’entreprise

Mode d’emploi, en 3 étapes, pour créer un bon tableau de bord

Sélection des mesures

Il s’agit ici d’un choix stratégique. Il est théoriquement impossible d’inclure dans le tableau tous les éléments de mesure connus. Faites donc cette sélection selon la pertinence des indicateurs à retenir par rapport au projet/mission en cours.
Gardez à l’esprit que votre but est d’établir un tableau clair, simple mais aussi pertinent et utile. Choisissez donc les indicateurs clés et faites en sorte d’optimiser la visibilité de votre tableau

Les outils « techniques » de création d’un tableau de bord

C’est l’étape la plus « technique » de la création du tableau de bord.
Il vous faut à présent choisir (et éventuellement installer) les outils nécessaires à l’établissement du tableau. Notez que vous aurez préalablement à choisir entre un tableau de bord spécialisé (interactivité et possibilités de personnalisation), et un outil plus générique et simple. Ce choix est à faire en fonction de vos moyens et connaissances.

Comptez, dans votre liste d’outils indispensables :

  • Une base de données (pour stocker les données)
  • Une application de portail (pour assurer l’accès à votre tableau de bord)
  • Un système de rapports (pour traiter et visualiser les données source)

N.B. : Incluez dans les critères de votre choix, à ce niveau, l’aptitude du système de rapport à afficher les données sous forme de graphiques en couleurs.

Les données source

Vérifiez bien leur exactitude, car de leur exactitude dépendra la pertinence et l’utilité de votre tableau dans sa globalité, et, à plus grande échelle, la décision stratégique à prendre.

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Typologie des tableaux de bord en pilotage d’entreprise

Outil incontournable d’évaluation et de mesure de la performance de l’organisation d’une entreprise ou d’une institution, le tableau de bord de gestion est l’une des pierres angulaires dans toute démarche de progrès dans une optique d’établissement d’une performance durable.

Adapter son tableau de bord d’entreprise

Certes : un tableau de bord peut être adapté à diverses situations et environnements. Il existe, en effet, plusieurs types de tableaux de bord que vous pouvez ajuster à vos différents projets/services. Mais sachez tout de même qu’avant d’établir l’un ou l’autre de ces tableaux, il vous faut préalablement déterminer vos objectifs et bien comprendre la méthodologie de leur création afin de les traiter correctement.

Les divers types de tableau de bord

En voici quelques exemples :

  • Le tableau de bord des Ressources Humaines
  • Les tableaux de bord sociaux (Gestion des Ressources humaines/Tableau de bord social)
  • Le tableau de bord de la DSI
  • Le tableau de bord de la sécurité
  • Le tableau de bord de la sécurité des systèmes d’information
  • Le tableau de bord du Supply Chain management
  • Le tableau de bord du marketing
  • Le tableau de bord de pilotage des campagnes marketing
  • Le tableau de bord commercial
  • Le tableau de bord qualité
  • Le tableau de bord des services publics
  • Le tableau de bord de la performance publique….
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Grandes ou petites entreprises, le travail se fait en équipe

Tout le monde est d’accord : Pour que ça fonctionne, il faut travailler en équipe ! Mais qu’entend-on par équipe ? Le mot « équipe » vient d’ « équipage », terme de marine qui désigne l’ensemble du personnel travaillant sur un navire. Chacun sait combien il est important sur un navire, de travailler en équipe… un paquebot ne se manie pas comme une formule 1…

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